Ausstattung und politische Sinnbezüge nach der Schlacht von Actium », dans Città e architettura nella Roma imperiale, (colloque, Rome, 1981), Rome, 1981, p. 21-40. La cathédrale Saint Louis de Blois sous différents angles, qui en plus de son architecture initialement romaine, met en valeur son aspect majestueux. 39Retracer l’histoire des recherches dans ce domaine spécifique – l’architecture romaine – prouve d’autre part qu’on ne pourra jamais se fixer pour objectif de la saisir dans toute sa complexité. Sa grande expérience des topographies de Rome et du Latium lui a fourni un matériel d’un volume inconnu jusqu’alors qu’il a classé en fonction des techniques de construction, comme les différents types de maçonnerie. Il rivestimento parietale in marmo dipinto. Vorbericht zur vierten Grabungskampagne 2001 », dans Römische Mitteilungen, 109, 2002, p. 225-242. Systématiquement utilisé dans la partie supérieure des édifices et renforcé par des pièces métalliques (préfiguration du béton armé moderne), le béton romain autorise la construction de structures en voûte et en dôme plus hautes et de plus grande amplitude[45]. – Ruyt, 1983 : Claire de Ruyt, Macellum : marché alimentaire de romains, Louvain-la-Neuve, 1983. L'étude de l'architecture gréco- romaine s'est longtemps bornée aux bâtiments, surtout sacrés, que leur caractère monumental et leurs matériaux choisis avaient mieux conservés que les habitations, premières victimes de toutes les vicissitudes historiques. Dans la mesure où l’on dispose encore de vestiges archéologiques, mais aussi de nombreuses sources littéraires et épigraphiques décrivant comment ce complexe architectural a été projeté et financé par l’empereur, ce site se prête de manière idéale aux questionnements sociopolitiques. Malgré le fait que le métier d'architecte soit respecté et considéré comme honorable, les plus grands architectes ayant une influence non négligeable sur les empereurs eux-mêmes avec qui ils entretiennent parfois des relations de confiance[1], seuls quelques noms d'architectes ayant œuvré pour le compte de Rome, essentiellement ceux à l'origine des plus grands monuments de Rome et du monde romain, nous sont parvenus. À Rome, apparaissent deux structures spécifiques, la Curia et le Comitium. Bien que de taille et de formes très variées, les thermes comportent toujours les équipements suivants :- apodyterium : (vestiaire) : salle équipée de bancs de pierre et de niches pour déposer les vêtements (quand on en a les moyens, on paie un … – Zink, 2008 : Stefan Zink, « Reconstructing the Palatine temple of Apollo: a case study in early Augustan temple designe », dans Journal of Roman Archeology, 21, 2008, p. 265-276. Supplément, 38), Paris, 1979. Cette imprécision se manifeste de manière particulièrement évidente dans la discussion, menée surtout par Armin von Gerkan, Donald Strong et John Ward-Perkins, autour de la datation des monuments les plus célèbres de Rome soit sous le règne d’Auguste soit sous celui de Trajan (Gerkan, 1951, p. 340, 1953/1954, 1964 ; Strong, Ward-Perkins, 1962). – Ziolkowski, 1992 : Adam Ziolkowski, The Temples of Mid-Republican Rome and their Historical and Topographical Context, Rome, 1992. – De Angeli, 1992 : Stefano De Angeli, Templum Divi Vespasiani, (Lavori e studi di archeologia, 18), Rome, 1992. – Marta, 1991 : Roberto Marta, Tecnica costruttiva romana, Rome, 1991. Il est ainsi attesté que plusieurs monuments ont été transformés tant sous Auguste qu’au début du iie siècle après J.-C. Si la technique de construction et la typologie, ainsi que l’iconographie et la facture des ornements indiquaient une proximité chronologique entre les divers édifices, la question était de savoir s’il fallait tous les dater de l’époque augustéenne ou bien du règne de Trajan. 29Pour gérer la pléthore de données engendrées par ce type de fouilles, on recourt de plus en plus aux possibilités de l’informatique et aux solutions spécifiques élaborées à partir des années 1990 pour répondre aux besoins des investigations, de la documentation et de la publication liées à l’architecture. Die Rankenfriese des Quellheiligtums und der Maison carrée in Nimes », dans Kölner Jahrbuch, 30, 1997, p. 145-157. Ces latifundia apparaissent au cours du IIe siècle av. – Strocka, 1988 : Volker Michael Strocka, « Wechselwirkungen der stadtrömischen und kleinasiatischen Architektur unter Trajan und Hadrian », dans Istanbuler Mitteilungen, 38, 1988, p. 291-307. L'intérêt de ce dernier type d'arche est d'être plus léger et de pouvoir laisser passer plus d'eau en cas d'inondation et donc d'éviter que le pont puisse être emporté. Les actes de colloque publiés récemment par Pier Giovanni Guzzo et Maria Paola Guidobaldi fournissent un aperçu des fouilles actuelles dans les cités vésuliennes (Guzzo, Guidobaldi, 2008). Il Rivestimento parietale in marmo dipinto: analisi di laboratorio e ricostruzione », dans Angelelli, Paribeni, 2007, p. 231-240. Henner von Hesberg et Johannes Lipps, « L’architecture romaine, évolution d’un champ d’études depuis les années 1950 », Perspective [En ligne], 2 | 2010, mis en ligne le 13 août 2013, consulté le 01 février 2021. Racial abuse suffered by Bournemouth winger Junior Stanislas after scoring in a 1-0 win at Stoke was “disgusting and completely intolerable," the south-coast English club said Sunday. Ainsi, au-delà de sa fonction, la grande architecture publique incarne les revendications et objectifs du souverain régnant. On retrouve ainsi dans les monuments romains l'esthétisme des bâtiments grecs avec l'utilisation des ordres architecturaux (dont l'ordre corinthien qui est le plus répandu) et du marbre qui se mélange aux techniques héritées des étrusques, comme leur savoir-faire en matière d'ingénierie hydraulique (systèmes d'égouts, fontaines, tunnels, ponts). Comme les théâtres antiques grecs, le théâtre romain comprend un orchestre (orchestra) autour duquel sont disposés les gradins (cavea). Ainsi, l’intérêt porté par l’Allemagne au décor statuaire des monuments correspond à une tendance que n’ont guère adoptée les autres pays. Ici aussi, les investigations sont corroborées par d’autres disciplines comme l’histoire antique, en analysant par exemple les sources littéraires impériales afin d’interroger les diverses facettes de la perception de l’architecture romaine (Scheithauer, 2000). Questo saggio distingue tre fasi nelle ricerche degli ultimi decenni sull’architettura romana. – Rasch, 1993 : Jürgen J. Rasch, Das Mausoleum bei Tor de’ Schiavi in Rom, (Spätantike Zentralbauten in Rom und Latium, 2), Mayence, 1993. J.-C. avec le premier horreum public connu construit par le tribun de la plèbe Caius Sempronius Gracchus en 123 av. En tant que capitale de l'Empire, Rome est le principal lieu de construction des monuments et bénéficie des sollicitudes des empereurs qui consentent des dépenses importantes dans le domaine de l'urbanisme. – Leon, 1971 : Christoph F. Leon, Die Bauornamentik des Trajansforums und ihre Stellung in der früh- und mittelkaiserzeitlichen Architekturdekoration Roms, Vienne, 1971. Plus qu'une fonction commerciale, le forum romain est le véritable cœur de la cité, point de convergence de la vie politique et sociale de la ville[52]. On remarque aussi un accroissement spectaculaire des études consacrées aux vestiges architecturaux de la Péninsule ibérique (Díaz Martos, 1985 ; Gutiérrez Behemerid, 1992) et des autres provinces du nord-ouest (Andrikopoulou-Strack, 1986 ; Trunk, 1991 ; Küpper-Böhm, 1996 ; Deniger, 1997). Ces techniques combinées aux nouveaux matériaux de construction permettent de bâtir des barrages plus grands comme le barrage du lac Homs et le barrage poids d'Harbaqa dans le désert de Syrie. – Drerup, 1959 : Heinrich Drerup, « Die römische Villa », dans Marburger Winckelmann Programm, 1959, p. 1-24. Cette volonté conduit dans certains cas à tenter de rétablir des contextes antiques, voire de réaliser des reconstitutions complètes4. Un net changement de paradigme intervient dans l’interprétation de l’architecture romaine, considérée désormais moins comme une œuvre d’art que comme un moyen de représentation tributaire de l’histoire. Les cahiers spéciaux (Sonderschrifte) du Deutsches Archäologisches Institut (DAI) à Rome, dont le grand format et les illustrations et annexes abondantes ont permis la publication de monuments antiques avec une richesse de détails jusqu’alors inconnue, sont symptomatiques de cette évolution. – Kleibl, 2009 : Kathrin Kleibl, Iseion: Raumgestaltung und Kultpraxis in den Heiligtümern gräco-ägyptischer Götter im Mittelmeerraum, Worms, 2009. Loin d’être isolés, ces bousculements successifs correspondent à des changements de paradigmes également attestés en archéologie et dans les sciences humaines (Kuhn, 1962), qui résultent eux-mêmes, en dernière analyse, de mutations générales dans la société et les modes de pensée7. – Gutiérrez Behemerid, 1992 : Maria Angeles Gutiérrez Behemerid, Capiteles Romanos de la Península Ibérica, Valladolid, 1992. Cette volonté de reconstituer toutes les facettes de l’architecture antique englobe nécessairement aussi la peinture. L'opus mixtum, connu dès l'époque républicaine, ne se généralise qu'à partir du IIe siècle et reste très répandu jusqu'à la fin de l'Empire[41]. La plupart des architectures romaines ont adopté l'architecture du grec à leurs propres fins à travers lequel ils ont créé un style architectural qui est unique.L'architecture romaine a été largement influencée par l'architecture grecque. – Rawson, 1987 : Elizabeth Rawson, « Discrimina Ordinum: The Lex Julia Theatralis », dans Papers of the British School at Rome, 55, 1987, p. 83-114. Détail de la décoration de la tombe d'Hérode Atticus sur la via Appia Antica en opus latericium. Le sol des salles chauffées est surélevé (suspensura) grâce à des piliers de brique et de béton. J.-C., les Romains se servent essentiellement de tuf, une pierre volcanique locale aux nombreuses variétés dont l'exploitation correspond à différentes phases architecturales. Les thermes contiennent souvent une palestre où les citoyens peuvent s'échauffer avant de se baigner. Les résultats des fouilles firent l’objet d’une monographie publiée en 1956 par Fritz Fremersdorf (Fremersdorf, 1956, en particulier sur les circonstances des fouilles, p. 1-2). 4Après la Seconde Guerre mondiale, le regard porté sur l’architecture romaine connut un changement radical. L’architecture peut se définir comme l’art de bâtir des édifices. L'architecture romaine est l'art de concevoir des espaces et de bâtir des édifices qui se développe durant la Rome antique, du V siècle av. La technique consistant à placer une arche en appui direct sur les chapiteaux de colonnes est une création romaine, apparue au cours du Ier siècle. – Richardson, Richardson, Brown, 1960 : Lawrence Richardson, Jr., Emeline Hill Richardson, Frank Edward Brown éd., Cosa II: The temples of the Arx, (Memoirs of the American Academy in Rome, 26), Rome, 1960. Il existe 29 communes limitrophes autour de Rome. AccueilPerspective. 7La France, l’Italie et l’Allemagne sont alors les pays qui s’emploient le plus à améliorer les fondements empiriques au profit de la recherche. Jan 22, 2015 - This Pin was discovered by Mathilde. Il convient de citer notamment les travaux des Américains à Cosa (Richardson, Richardson, Brown, 1960 ; Brown, Richardson, Richardson, 1993 ; Bruno, Scott, 1993 ; Rickman Fitch, Goldman, 1994 ; Fentress, 2003), la fouille de la villa de Settefinestre par Andrea Carandini (Carandini, 1985), les travaux italiens à Paestum (Greco, Theodorescu, 1980-1987 ; Greco, 1999 ; Braganti et al., 2008) et à Fregellae (Coarelli, 1986 ; Coarelli, Monti, 1998), la fouille exemplaire de la Crypta Balbi à Rome – aujourd’hui encore la principale référence archéologique pour la Rome de la fin de l’Antiquité et du haut Moyen Âge (Aurea Roma, 2000 ; Arena, 2001 ; Paroli, Vendittelli, 2004) – ou encore les études scandinaves sur le temple de Castor et Pollux au Forum Romanum qui englobent, outre la documentation des résultats et trouvailles, des petits objets usuels de la vie quotidienne susceptibles de suggérer des hypothèses concernant l’utilisation du temple (Nielsen, Poulsen, Nylander, 1992 ; Guldager Bilde, Poulsen, 2008 ; Sande, Zahle, 2008). Im vorliegenden Beitrag werden drei Phasen innerhalb der Forschung zur römischen Architektur der letzten Jahrzehnte unterschieden. – Boethius, Ward-Perkins, 1970 : Axel Boethius, John Bryan Ward-Perkins, Etruscan and Roman Architecture, Baltimore, 1970. La cella qui abrite la statue de culte est précédée d'un vestibule (pronaos) auquel on accède via un escalier frontal[56]. – Laurence, 1994 : Ray Laurence, Roman Pompeii: Space and Society, Londres/New York, 1994. Supplément, 7), Paris, 1956. – Castagnoli, 1966/1967 : Ferdinando Castagnoli, « Sul tempio ’italico’ », dans Römische Mitteilungen, 73/74, 1966/1967, p. 10-14. – Rasch, 1985 : Jürgen J. Rasch, « Die Kuppeln in der römischen Architektur », dans Architectura, 15, 1985, p. 117-139. La démolition du « Bâtiment espagnol » (partie occidentale du complexe de l’hôtel de ville), également victime de la guerre, révèle aussi, non loin de la maison de Dionysos, la présence de plusieurs murs appartenant au prétoire de la cité romaine, qu’Otto Doppelfeld étudia en détail en 1953 (Doppelfeld, 1956, 1958). Les fouilles sont documentées avec un soin accru et les préoccupations scientifiques ramenées au premier plan. – Guzzo, Guidobaldi, 2008 : Pier Govanni Guzzo, Maria Paola Guidobaldi éd., Nuove ricerche archeologiche nell’area vesuviana (scavi 2003-2006), (colloque, Rome, 2007), (Studi della soprintendenza archeologica di Pompei, 25), Rome, 2008. Refinements of Classical Architecture: Curvature, (colloque, Philadelphie, 1993), Philadelphie, 1999. 8Pour l’Allemagne, on peut citer le cas de Cologne et de la « Maison de Dionysos ». Les architectes ne sont pas seulement formés pour mettre au point les plans techniques des édifices et pour superviser les travaux de construction, ils sont également formés à la géométrie, à l'ingénierie hydraulique, à la représentation de leurs projets avec des dessins plus poussés prenant en compte la perspective et les jeux de lumière et à la gestion des finances au cours des travaux[5],[1]. En 1949 suit un deuxième volume richement illustré de dessins et d’images sur le Trophée d’Auguste à La Turbie par Jules Formigé (Formigé, 1949). 19  Pour un répertoire de projets 3D appliqués aux arts, voir http://3dvisa.cch.kcl.ac.uk/projectlist.html. Cette vision, déjà adoptée dans l’Antiquité, fut l’une des raisons pour lesquelles les savants se concentrèrent sur certains types d’édifices, mais aussi sur des espaces culturels et géographiques et des périodes chronologiques choisis. Voir par exemple Sextus Iulius Frontinus, De aquaeductu urbis romae, 16. Mêlée avec la chaux et le moellon, non seulement elle donne de la solidité aux édifices ordinaires, mais encore les môles qu'elle sert à construire dans la mer acquièrent sous l'eau une grande consistance. Selon les architectes romains, les édifices publics devaient être impressionnants pour frapper l'imagination du peuple mais ils devaient aussi être pratiques et adaptés à leurs fonctions. – Strong, 1953 : Donald E. Strong, « Later Hadrianic Architectural Ornament in Rome », dans Papers of the British School at Rome, 21, 1953, p. 118-151. 1  Sur la définition de l’architecture romaine en fonction du lieu, de l’époque et des matériaux, voir Höcker, 1999, p. 1007. L’architecture antique (ou ce qu’il en reste) a laissé ses empreintes dans le nord du Maroc. The person Didot, Pierre, 1761-1853 represents an individual (alive, dead, undead, or fictional) associated with resources found in Boston University Libraries. Elle est le fruit de la pratique et de la théorie. – Zanker, 1981 : Paul Zanker, « Der Apollontempel auf dem Palatin. – Schneider, Fehr, Meyer, 1979 : Lambert Schneider, Burkhard Fehr, Klaus-Heinrich Meyer, « Zeichen, Kommunikation, Interaktion. – Precht, 1973 : Gundolf Precht, Baugeschichtliche Untersuchung zum römischen Praetorium in Köln, Cologne, 1973. – Schwandner, Rheidt, 2004 : Ernst-Ludwig Schwandner, Klaus Reidt éd., Macht der Architektur – Architektur der Macht, (colloque, Berlin, 2002), (Diskussionen zur archäologischen Bauforschung, 8), Mayence, 2004. Jhs. Contrairement à la structure spatiale grecque, qualifiée d’« orthogonale », le mode de construction romain repose sur des formes creuses comme la sphère et le cylindre. De nombreux phares sont construits tout autour de la Méditerranée et sur les côtes de l'Empire comme la tour d'Hercule au nord de l'Espagne ou le phare de Douvres dans le Sud de l'Angleterre. – Kuhn, 1962 : Thomas Kuhn, The Structure of Scientific Revolutions, Chicago, 1962. Les Romains sont les premiers à utiliser l'arche et les contreforts pour stabiliser la structure des barrages. Au cours des VIIe et VIe siècle av. Les suppléments de revues existantes permettent aussi de présenter des monuments de façon exhaustive, tel que le temple de Portunus au Forum Boarium publié par Jean-Pierre Adam dans la Collection de l’école française de Rome (Adam, 1994). Dans un premier temps, un certain rejet de l’art romain face à l’art grec, qui affecte aussi le domaine de l’architecture, se fait encore sentir. – Carafa, 1998 : Paolo Carafa, Il comizio di Roma dalle origini all’età di Augusto, (Bullettino della Commissione archeologica comunale di Roma. – Chisholm, Ferguson, 1981 : Kitty Chisholm, John Ferguson, Rome: The Augustan Age, A Sourcebook, Oxford, 1981. – Vandeput, 1997 : Lutgarde Vandeput, Sagalassos: A Case Study, The Architectural Decoration in Roman Asia Minor, Louvain, 1997. Hisour - History+Tour. – Fremersdorf, 1956 : Fritz Fremersdorf, Das römische Haus mit dem Dionysos-Mosaik vor dem Südportal des Kölner Domes, Berlin, 1956. 5Il serait également instructif d’observer l’effet produit sur la recherche par sa spécialisation croissante en disciplines distinctes. Maquette d'une villa romaine de Germanie. Cette méthode est utilisée en Campanie où un mortier fabriqué à base de pouzzolane noire remplace l'argile[31]. Parmi les œuvres des théoriciens romains de l'art du bâtiment, on note quelques ouvrages passés à la postérité : Vers la fin de l'âge du bronze, entre 1150 et 950 av. Request full-text PDF. – Purcell, 1996 : Nicholas Purcell, « The Roman gardens as a domestic building », dans Ian M. Barton éd., Roman domestic buildings, Exeter, 1996, p. 121-151. 8  Sur le temple des Dioscures aujourd’hui, voir Sande, Zahle, 2008. Ces travaux mettent en évidence les singularités locales du décor architectural et ses traditions, ainsi que les influences réciproques de Rome et de l’Asie Mineure23, et l’impact exercé par les changements politiques sur l’architecture citadine (Bergemann, 1998 ; Hailer, 2008 ; Pirson, Wulf-Rheidt, 2008). Les méthodes de prospection géophysiques permettent d’exhumer de manière ciblée les structures architectoniques et d’identifier des contextes topographiques étendus. L’architecture romane est une architecture d’équilibre. – Plattner, 2007 : Georg Alexander Plattner, « Elemente stadtrömischer Bautypen und Ornamentformen in der kleinasiatischen Architektur », dans Marion Meyer éd., Neue Zeiten – Neue Sitten: Zu Rezeption und Integration römischen und italischen Kulturguts in Kleinasien, Vienne, 2007, p. 125-132. Si la hutte traditionnelle reste très utilisée jusqu'au VIIe siècle av. Le premier type de tuf utilisé, entre le VIIe et le Ve siècle av. 38La nécessaire inscription de l’architecture dans son contexte topographique, ainsi que le recours à des sources supplémentaires pour une reconstitution la plus exacte possible des espaces de représentation et d’action dans l’Antiquité, constituent à l’heure actuelle une tâche capitale pour la communauté scientifique. – Kienast, 1980 : Dietmar Kienast, « Zur Baupolitik Hadrians in Rom », dans Chiron, 10, 1980, p. 391-412. Henner von Hesberg et Johannes Lipps, « L’architecture romaine, évolution d’un champ d’études depuis les années 1950 », Perspective, 2 | 2010, 215-239. Selon Caton l'Ancien, les jardins devraient être placés près des bâtiments résidentiels et devraient comporter des lits de fleurs et des arbres ornementaux. – Gnoli, 1988 : Raniero Gnoli, Marmora Romana, Rome, (1971) 1988. Leon, 1971 ; Neu, 1972 ; Pensabene, 1973, 1982a, 1982b ; Cavalieri Manasse, 1978 ; Hesberg, 1980 ; Bingöl, 1980 ; Sperti, 1983 ; Ganzert, 1983 ; Díaz Martos, 1985 ; Vasdaris, 1987 ; Lauter-Bufe, 1988 ; Tancke, Herrmann, 1988 ; Pülz, 1989 ; Fischer, 1990 ; Freyberger, 1990 ; Gans, 1992 ; Kramer, 1994 ; Paul, 1994 ; Schörner, 1995 ; Schreiter, 1995 ; Mathea-Förtsch, 1999 ; Schäfer. L'eau acheminée par les aqueducs termine son trajet dans de grandes citernes. On citera ici les discussions sur la recherche archéologique en matière de constructions antiques menées à partir de 1974, et attestées par neuf actes de colloques traitant entre autres de leur conception et des techniques employées (Hoepfner, p. 10, Schwandner, 1974 ; Hoepfner, 1975, 1978, 1983 ; Hoffmann et al., 1991 ; Schwandner, 1996 ; Schwandner, Rheidt, 1999, 2004 ; Pirson, Wulf-Rheidt, 2008). Les Romains sont les premiers à utiliser la technique du dôme pour la création de vastes espaces intérieurs. – Strube, 1993 : Christine Strube, Baudekoration im Nordsyrischen Kalksteinmassiv, (Damaszener Forschungen, 5), Mayence, 1993. – Coarelli, 1986 : Filippo Coarelli, Fregellae, 2, Il santuario di Esculapio, Rome, 1986. Oct 12, 2014 - This Pin was discovered by abhishek bekal. Les plus grands entrepôts sont des édifices très imposants, même selon les standards modernes. Petit appareil réalisé avec des petits moellons en pierre de dimensions et de formes irrégulières. J.-C. au IV siècle apr. 34Parmi les nombreux autres aspects, il faudrait encore citer les études sur les transferts d’idées et les processus d’acculturation par le truchement de l’architecture et plus particulièrement du décor architectural, mais aussi celles qui s’attachent à la conception des monuments. ... et de l'architecture (formes de l'habitat). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. J.-C. à Rome et dans les provinces autour de la Méditerranée[44]. Pour les édifices sacrés, on se référera aux études d’Ulrike Egelhaaf-Gaiser (Egelhaaf-Gaiser, 2000) et de Kathrin Kleibl (Kleibl, 2009). – Étienne, 1973 : Robert Étienne éd., Les cryptoportiques dans l’architecture romaine, (colloque, Rome, 1972), Rome, 1973. – Haselberger, 1999 : Lothar Haselberger éd., Appearance and Essence. – Bragantini et al., 2008 : Irene Bragantini et al., Poseidonia-Paestum, 5, Les Maisons Romaines de l’Îlot Nord, (Collection de l’École française de Rome, 42), Rome, 2008. On observe d’abord une forte augmentation des publications consacrées au matériel archéologique. Le travertin, qui ressemble au marbre et qui permet un travail de sculpture plus fin que les tufs volcaniques, finit par supplanter les autres types de pierre à partir du début du Ier siècle av. – Formigé, 1949 : Jules Formigé, Le Trophée des alpes (La Turbie) : fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine, (Gallia. À la fin de l'Empire, certaines villas, comme le Palais de Dioclétien, prennent l'apparence de petites villes fortifiées, un concept de château résidentiel qui se développe durant le Moyen Âge. – Hesberg, Panciera, 1994 : Henner von Hesberg, Silvio Panciera, Das Mausoleum des Augustus, (Bayrische Akademie der Wissenschaften, 108), Munich, 1994. Les théâtres romains sont semi-circulaires et possèdent tous une structure architecturale similaire avec quelques variations mineures en fonction de la province où ils sont construits. Pour l’architecture publique, on citera notamment l’ouvrage d’Ingrun Köb sur le Forum Romanum et les forums impériaux dans lequel elle tente, en s’appuyant sur des sources littéraires et épigraphiques, de décrire de façon la plus complète possible la vie quotidienne dans cette partie de Rome (Köb, 2000). J.-C. où leur extraction décline face à d'autres variétés qui offrent de meilleures propriétés[19]. Associée au perfectionnement des méthodes de production des matériaux de construction, qui permet également une réduction des coûts, l'utilisation du béton romain permet de raccourcir considérablement les temps de construction[33]. Dans le cas de l’architecture romaine, l’intérêt se focalisa essentiellement sur l’Italie et la ville de Rome elle-même, de la fin de l’époque républicaine jusqu’au règne d’Hadrien. – Ueblacker, 1985 : Mathias Ueblacker, Das Teatro Marittimo in der Villa Hadriana, (Deutsches Archäologisches Institut Rom, Sonderschriften, 5), Mayence, 1985. – Cassetta, Mignanelli, 2006 : Roberto Cassetta, Luca Mignanelli, « I Fori Imperiali », dans Filippo Coarelli éd., Lexicon topographicum urbis Romae. – Rolland, 1956 : Henri Rolland, Fouilles de Saint-Blaise (1951-1956), (Gallia. – Guldager Bilde, Poulsen, 2008 : Pia Guldager Bilde, Birte Poulsen éd., The Temple of Castor and Pollux, II, The Finds, Rome, 2008. À l'époque d'Auguste, les Romains utilisent un ciment fin et dur fabriqué à partir de pouzzolane dont les propriétés diffèrent des mortiers de chaux classiques. Pavement constitué de fragments de marbre formant des motifs géométriques. Les Romains font un usage régulier du dôme dans la construction de leurs monuments, les exemples les plus célèbres étant le Panthéon d'Hadrien, les thermes de Dioclétien et les thermes de Caracalla. Ces vestiges sont même préservés en des lieux où la référence à la tradition antique est différente, comme en Turquie ou dans les pays du monde arabe. ier siècle- iiie siècle av. Jusqu'à la fin du IIe siècle av. – Schörner, 1995 : Günther Schörner, Römische Rankenfriese: Untersuchungen zur Baudekoration der späten Republik und der frühen und mittleren Kaiserzeit im Westen des Imperium Romanum, (Beiträge zur Erschließung hellenistischer und kaiserzeitlicher Skulptur und Architektur, 15), Mayence, 1995. 37Si l’architecture, au cours de la première phase, est surtout appréhendée comme un art dont il s’agit d’analyser la nature, on assiste dans les années 1970 à un changement fondamental dans l’interprétation des monuments. – Rohmann, 1998 : Jens Rohmann, Die Kapitellproduktion der römischen Kaiserzeit in Pergamon, (Pergamenische Forschungen, 10), Berlin/New York, 1998. Sous l'Empire, toutes les cités romaines disposent de bains publics où tous les citoyens peuvent se baigner, s’entraîner et faire des rencontres. Ces constructions sur le Palatin préfigurent l'édification des grands palais impériaux. – Pfanner, 1983 : Michael Pfanner, Der Titusbogen, (Beiträge zur Erschließung hellenistischer und kaiserzeitlicher Skulptur und Architektur, 2), Mayence, 1983. L'antiquité. – Vasdaris, 1987 : Christos Vasdaris, Das dorische Kapitell in der hellenistisch-römischen Zeit im östlichen Mittelmeerraum, Athènes, 1987. – Castagnoli, 1955 : Ferdinando Castagnoli, « Peripteros sine postico », dans Römische Mitteilungen, 62, 1955, p. 139-143. – Siegmund, Zimmermann, 2000 : Frank Siegmund, Andreas Zimmermann, « Konfrontation oder Integration? Répondant à cette volonté de synthèse du matériel sont aussi entreprises une série d’investigations, dans lesquelles les auteurs se concentrent sur un type d’édifice ou un élément architectural précis, et tentent, dans une optique diachronique, d’établir typologies, chronologies relatives, analyses fonctionnelles et classements contextualisés. Directeur du Deutsches Archäologisches Institut Abteilung Rom depuis 2006, il se consacre essentiellement à l’étude de l’architecture, du répertoire ornemental et de l’urbanisme antiques. – Ungaro, Vitali, 2004 : Lucrezia Ungaro, Maria Luisa Vitali, « Die bemalte Wandverkleidung der ’Aula del colosso’ im Augustusforum », dans Vinzenz Brinkmann, Raimund Wünsche éd., Bunte Götter: Die Farbigkeit antiker Skulptur, Munich, 2004, p. 216-218. Seules les prouesses techniques associées aux monuments romains, tels que le Colisée ou les marchés de Trajan à Rome, sont soulignées avec une certaine admiration comme le veut la tradition. Le présent essai distingue trois phases dans les recherches sur l’architecture romaine de ces dernières décennies. – Fasolo, Gullini, 1953 : Furio Fasolo, Giorgio Gullini, Il santuario della Fortuna Primigenia a Palestrina, I, Testo ; II, Tavole, Rome, 1953. « L'architecture est une science qui embrasse une grande variété d'études et de connaissances ; elle connaît et juge de toutes les productions des autres arts. Le temple désigne à la fois l'espace délimité par un augure pour y interpréter les auspices, l'espace occupé par un sanctuaire dédié à une divinité, le lieu d'activité publique où se réunit le Sénat ou les comices ou encore tout édifice qui a été consacré par les augures et les pontifes[55]. Arc de Septime Sévère, IIIe siècle, Rome. – Humphrey, 1986 : John H. Humphrey, Roman Circuses: Arenas for Chariot Racing, Londres, 1986. – Hastrup, 1962 : Thure Hastrup, « Forum Iulium as a Manifestation of Power », dans Analecta Romana Instituti Danici, 2, 1962, p. 45-61. Deux ans plus tôt, dans son opuscule Zum Ausstattungsluxus in der Römischen Architektur, Drerup s’était déjà employé à distinguer le sentiment de la forme dans l’Italie et la Grèce antiques. – Floriani Squarciapino, 1976 : Maria Floriani Squarciapino, « Ipotesi di lavoro sul gruppo di sculture da Pancaliente », dans Antonio Blanco Freijeiro éd., Augusta Emerita, (colloque, Mérida, 1975), Madrid, 1976, p. 55-62. Top 10 Modern Architecture Gems in Paris Updated by Molli, 19/11/2019 Paris is most well known for it's iconic Haussmannian architecture. – Carandini, 1985 : Andrea Carandini, Settefinestre: una villa schiavistica nell’etruria romana, I, La villa nel suo insieme ; II, La villa nelle sue parti ; III, La villa e i suoi reperti, Modène, 1985. 15  Pour des études sur l’histoire ancienne synthétiques et accompagnées de références bibliographiques complémentaires, voir Chisholm, Ferguson, 1981 ; Kienast, 1982 ; Millar, Segal, 1984 ; Binder, 1987, 1988, 1991 ; Zanker, 1987 ; Raaflaub, Toher, Bowersock, 1990 ; Vittinghoff, 1991 ; Bowman, et.